SEARCH
Eva Illouz sur les marchandises émotionnelles : "Tout est fait au club Med pour nous 'libérer' de l'argent."
France Inter
2019-04-11
Views
19
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
La sociologue et universitaire Eva Illouz est l'invitée de la matinale de France Inter.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x75mpmc" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:58
Albert Moukheiber, docteur en neurosciences cognitives : "Les fake news sont souvent des explications qui sont émotionnelles, jouent sur les peurs"
03:59
Des leçons de morales aux convictions émotionnelles et collectives
00:46
Guillaume Pepy : "En Suisse et en Autriche les marchandises ne peuvent pas traverser le pays par la route, il faut les mettre sur le train"
01:16
François Ruffin : "Je suis favorable aux retour des frontières, sur capitaux, marchandises et personnes, y compris pour les européens du Nord. Il faut poser des limites à la circulation tous azimuts des personnes."
01:27
L'économiste Daniel Cohen : "On ne peut plus dire qu’un accord de libre-échange est bon parce qu’il donne de la liberté. Il y a une réflexion à avoir sur le coût climatique du transport des marchandises"
01:35
Eva Illouz : "Toute la culture du développement personnel est un champ économique énorme."
01:20
Eva Illouz : "Le féminisme a été le combat politique le plus important du 20e siècle."
01:07
Eva Illouz : "La psychologie positive a même inventé l'épanouissement post-traumatique."
23:57
Eva Illouz : "L’émotion est un champ particulièrement important pour le capitalisme"
16:47
"Les hommes sont évalués en fonction de leur statut social", estime la sociologue Eva Illouz
00:36
Eva Illouz : " Dans les entreprises, on évalue les candidats en fonction de leur positivité."
00:53
Eva Illouz : "Le malaise français vient de quelque chose de positif. Les Israéliens attendent très peu de leurs institutions."