Pas de rapatriements pour les enfants de djihadistes en Syrie. Le secrétaire d'État à l'Intérieur, Laurent Nuñez, a fermé la porte à l'idée d'un retour organisé par l'État. Entendu par la commission des Affaires européennes de l'Assemblée, il a rappelé que l'avenir des enfants de djihadistes était indissociable de celui de leurs parents, détenus «dans la majorité des cas […] avec leur mère».  La France a fait le choix de laisser les Forces démocratiques syriennes (FDS) décider du sort de leurs prisonniers. Laurent Nuñez On estime que les enfants représentent plus de la moitié des 150 Français détenus actuellement en Syrie. Emmanuel Macron de son côté est resté sur sa position :
une «approche au cas par cas», en «lien avec
la Croix-Rouge internationale».