Jeudi, les forces démocratiques syriennes ont livré une vingtaine de jihadistes étrangers aux autorités irakiennes, dont 13 français qui seront sûrement jugés à Bagdad, et que la France n’a pas l’intention de récupérer. Hier, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’existait pas de "programme de retour des jihadistes", confirmant que ceux détenus en Irak ou en Syrie seront "d’abord judiciarisés" là bas.