«Des soirées torrides à l’antre du fondateur des Gardiens de la révolution». Le journaliste Armin Arefi propose dans son ouvrage Un printemps à Téhéran, une plongée «dans le quotidien, drôle tout autant que tragique, des Iraniens sous la République islamique». Un pays dont il a été écarté pendant près de 9 ans. Il revient notamment sur son retour en Iran, surveillé de près par le régime. Spécialiste du Moyen-Orient pour l’hebdomadaire Le Point, le journaliste franco-iranien est aussi l’auteur de Dentelles et tchador. Il a répondu aux questions de Pascal Airault.