Un décret publié au «JO » prévoit notamment la suppression de l'allocation pour un mois ou plus, et non plus sa seule suspension, en cas de refus successifs d’«offres raisonnables d'emploi». Le fait de ne pas se rendre à un rendez-vous avec un conseiller, par exemple, devait être sanctionné de 15 jours de radiation des listes au lieu des deux mois actuellement en vigueur. Finalement, ce sera un mois de radiation selon le texte du décret, deux mois au bout de deux manquements et quatre mois au « troisième manquement » constaté.