Des Syriens sont emmenés dans un hôpital d'Alep pour être soignés pour des problèmes respiratoires après une attaque aux "gaz toxiques" sur la ville tenue par le régime syrien, selon un nouveau bilan fourni dans la nuit par les médias d'Etat qui ont accusé les insurgés. Le Front national de libération, l'alliance rebelle la plus importante présente dans les provinces d'Alep et d'Idleb (nord-ouest), a démenti toute implication.