La Terrasse organise dimanche 25 novembre une journée dédiée à la mémoire de la Shoah et particulièrement à l’histoire d’une famille juive polonaise, réfugiée dans le village, arrêtée le 5 mars 1944 sur dénonciation et déportée à Auschwitz d’où elle n’est jamais revenue. Cette rafle a été sortie de l’oubli en 2012. Et depuis, un projet s’élabore pour faire de la petite commune iséroise un « lieu de mémoire ».
Ada Sadoun, présidente de l’Association B’nai B’rith France-Grenoble, évoque l’importance d’une telle reconnaissance officielle.
Par C.F