Cet après-midi, 800 travailleurs frontaliers ont répondu à l'appel du Comité de défense des travailleurs frontaliers de la Moselle. Ils ont crié leur colère "contre la réforme du paiement des allocations de chômage par l'Allemagne qui pénalisera les frontaliers chômeurs ; contre l'application de la CSG-CRDS sur la retraite allemande ; contre la spoliation fiscale des travailleurs intérimaires ; pour la reconnaissance des taux d'invalidité entre la France et l'Allemagne". Le cortège est parti du tribunal de grande instance pour se diriger vers la frontière allemande et la sous-préfecture