Aux États-Unis, la Cour Suprême laisse triompher les opposants au droit à l’avortement.
Désormais, les « centres de crise de grossesse » ne sont plus obligés d’informer les patientes en ce qui concerne leurs possibilités d’avortement.
Dans ces centres administrés par des conservateurs, se retrouvent des employés en blouse blanche qui tentent de convaincre les femmes de ne pas avorter.
Une loi californienne obligeait ces centres privés à informer les patientes sur leur possibilité de bénéficier d’un avortement ou d’un moyen de contraception à bas coût.
Cette loi est contestée en 2015 par les « Pro-Life » qui voient dans cette obligation d’informer, une loi d’inspiration démocrate anti-constitutionnelle.
À cinq juges contre quatre, la Cour suprême américaine donne raison aux opposants à l’IVG au nom de leur liberté de conscience.
Aux États-Unis les cliniques pratiquants l’IVG sont de moins en moins nombreuses.
La Cour suprême américaine autorise de fausses cliniques anti-IVG à mentir aux femmes