Le sujet central sera cette dette colossale de 50 milliards d'euros qui pèse sur toutes les tentatives de remise à plat de l'entreprise. Le flou demeure autour des conditions de la reprise par l'Etat. D'ici au 7 mai, les servcies de Bercy, qui échaffaudent des scénarios, auront-ils trouvé un montage astucieux à annoncer aux syndicats ?