Les deux grands alliés du régime de Bachar al-Assad - la Russie et l'Iran - dénoncent vivement les frappes occidentales en Syrie. Pour l'armée russe, il ne s'agit pas d'une réponse à une supposée attaque chimique mais d'une tentative de "déstabilisation", tandis que le guide suprême iranien qualifie de "criminels" les présidents américain et français et la Première ministre britannique.