Les phrases chocs de Laeticia Hallyday dans Le Point: "On me vole mon deuil, on me roue de coups. (...) David et Laura ont attendu des mois avant de venir voir leur père malade"

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"On me vole mon deuil. On me roue de coups", déclare Laeticia Hallyday dans une longue interview au Point, en plein coeur d'une bataille judiciaire pour l'héritage de Johnny Hallyday qui l'oppose aux aînés de la star, David Hallyday et Laura Smet. "On nous assigne, mes filles et moi, en précisant bien que nos enfants sont des +enfants adoptées+. C'est d'une violence !", s'insurge Laeticia Hallyday dans sa première prise de parole depuis la mort de la star le 5 décembre.

"Mon mari n'est plus là pour dire sa vérité. Auraient-ils osé faire cela du vivant de leur père?", interroge la veuve de Johnny Hallyday qui a fêté ses 43 ans le mois dernier et est repartie vivre à Los Angeles avec ses deux filles, Jade et Joy, après avoir enterré son mari à Saint-Barthélémy.

Vendredi, un premier épisode judiciaire va se terminer. Le tribunal de Nanterre va rendre sa décision sur le gel des biens immobiliers et des droits artistiques de Johnny Hallyday, ainsi que sur le droit de regard sur son ultime album, réclamés par les deux aînés du chanteur. Le règlement sur le fond de sa succession interviendra bien plus tard. David Hallyday et Laura Smet contestent le testament californien de leur père qui les déshérite.

Pour Laeticia Hallyday, Johnny "estimait qu'il avait fait des donations de son vivant et que ça les protégeait. David a construit sa vie, il a plus de 50 ans, il a fait un beau mariage, c'est un artiste reconnu. Pour Laura, de la même façon, il l'a aidée quand elle en a eu besoin. Pour lui, ils étaient sortis d'affaire".

Et Laeticia affirme également: "Laura et David n'ont pas voulu descendre les Champs-Elysées avec moi, ils n'ont pas voulu fermer le cercueil non plus, j'ai trouvé ça étrange." Et, elle ajoute, "Après qu'ils ont appris que leur père était malade, David a attendu 6 mois pour venir et Laura 4 mois." Et après avoir tapé sur les aînés, elle ouvre la main

"Je les attends à bras ouverts. On est une famille, je serai un jour prête à pardonner mais il faut se fixer une limite. On me vole mon deuil, on me roue de coups"

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