Les Occidentaux et leurs alliés maintiennent intacte leur détermination à riposter fermement à l'attaque chimique présumée imputée au régime de Bachar al-Assad et faisaient toujours planer mercredi 11 avril la menace de frappes militaires en Syrie après un veto russe à l'ONU. A Paris, Emmanuel Macron a annoncé mardi soir une décision "dans les prochains jours" et le prince héritier saoudien Mohammed ben Slamane a indiqué que son pays répondrait "présent" en cas de demande.