«La gouvernance d’Emmanuel Macron sent le totalitarisme ». Ces mots sont ceux de Marine Le Pen, prononcés mercredi 14 mars à propos de la gestion du dossier SNCF par le gouvernement. Au lendemain de sa déclaration, sur le plateau de CNEWS, la présidente du Front national enfonce (presque) le clou, préférant cette fois parler «d’autoritarisme» : «Aujourd’hui, tout quasiment passe par les ordonnances, dénonce-t-elle. Alors, à quoi sert le Parlement ? Je suis désolé, mais c’est un fonctionnement qui est autoritaire».