À Paris, la société privée Streeteo est en charge d'une partie du contrôle du stationnement payant. Sauf que cette société a dressé des centaines de contraventions illégales, rédigées par des agents non assermentés. Des salariées ont été mis sous pression pour verbaliser alors qu'ils n'en avaient pas les droits, afin de répondre aux 50 000 contrôles journalier exigés par la marie de Paris. De plus, les employés étaient censés aller contrôler les informations donnés par les véhicules qui flashent automatiquement les plaques d'immatriculation, mais ils étaient contraints de rester au bureau et de verbaliser sans aucun contrôle. Streeteo a indiqué avoir identifié des pratiques internes inappropriées de la part de certains managers menées à son insu . Le contrat de la société n'a pas été résilié.