Jean-François Forget, secrétaire général du syndicat pénitentiaire UFAP-UNSA, a expliqué ce vendredi sur BFMTV pourquoi son mouvement, majoritaire chez les surveillants de prisons, avait décidé de signer le projet d'accord de la chancellerie. Des mesures de sécurité renforcées, dont des gilets pare-balles individuels pour les personnels, et une hausse de la rémunération font partie des raisons invoquées.