SEARCH
"Les démissionnaires auront demain un droit au chômage", assure Aurore Bergé
BFMTV
2018-01-16
Views
1
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Aurore Bergé, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce mardi, a assuré que "les démissionnaires auront demain un droit au chômage". "C'est une promesse, mais en plus c'est quelque chose de positif pour notre société", a-t-elle ajouté.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x6d6tyi" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
12:23
Politiques au quotidien: "L'assurance chômage pour les démissionnaires va permettre d'avoir deux ans devant soi pour pouvoir créer son entreprise", Muriel Pénicaud
00:59
Edouard Philippe "est quelqu'un d'extrêmement loyal", assure Aurore Bergé
02:00
Inscription de l'IVG dans la Constitution: "Oui cette loi est un symbole" assure Aurore Bergé
00:25
Aide alimentaire: "Si jamais on venait à manquer, l'État sera au rendez-vous", assure Aurore Bergé
01:27
Réforme des retraites: Aurore Bergé (LaREM) assure que le gouvernement ira "au bout de cette transformation"
01:08
Aurore Bergé (LaREM): "Si demain il y avait une grande marche pour lutter contre le racisme, nous serons les premiers à être présents"
00:35
"L'assiduité a extraordinairement augmenté à l'Assemblée" depuis l'arrivée de LaREM, assure Aurore Bergé
00:36
Démissionnaires d’En marche : "Comme dans une secte, on doit appliquer à la lettre"
01:38
Maires démissionnaires: "On perd en pouvoir d'agir" estime David Lisnard, président des maires de France
02:23
Budget 2025: "On est transparent depuis le premier jour" assure Thomas Cazenave, ministre délégué démissionnaire en charge des Comptes publics
00:49
Réforme de l'assurance chômage : "On gagnera toujours plus en travaillant qu'au chômage.", assure Muriel Pénicaud
01:52
Dans une série de tweets, le maire démissionnaire de Saint-Brevin-les-Pins assure que "l'État n'a pas été à ses côtés" lorsqu'il recevait les menaces de militants opposés à l'accueil des migrants et jusqu'à l'incendie criminel de son domicile