Trois ans après les attentats qui ont endeuillé la rédaction du journal satirique, la direction de Charlie Hebdo déplore les coûts exorbitants des services de protection qu'elle doit acquitter pour assurer sa sécurité. "Si Charlie disparaît, cela voudrait dire qu'en France, Daesh a gagné", prévient Philippe Val, l'ancien directeur du journal.