Depuis mars, entre 500 et 800 musulmans se réunissent chaque vendredi pour prier devant l’Hôtel de ville. Ils entendent ainsi protester contre la fermeture de la salle qui leur servait jusqu’alors de mosquée. « Nous voulons interpeller les pouvoirs publics avec une mobilisation républicaine des élus. Les riverains et les commerçants sont exaspérés.
La situation ne peut plus durer », a déclaré l’élu au Parisien. Une manière de demander à la préfecture d’empêcher la tenue de ces prières. « Ça crée des nuisances sur la voie publique. C’est intolérable. Ma ville doit être sereine », a-t-il ajouté vendredi 10 novembre sur RTL.
En septembre, il avait fait apposer une bannière au-dessus de l’un des boulevards de la ville sur laquelle on peut lire : « Stop aux prières de rue illégales ».