Près de deux mois après la disparition de la petite Maëlys, le parquet de Grenoble a ouvert une enquête pour violation du secret de l'instruction en raison de multiples fuites dans la presse qui pourraient nuire à la bonne conduite des investigations. Cette décision a provoqué la colère des gendarmes en charge de l'enquête et qui sont directement mis en cause. "Les accusations du procureur de la République sont ressenties comme une totale injustice à l'égard des enquêteurs", a expliqué le directeur général de la gendarmerie nationale.