Plus de hauteur, moins de pression, donc moins d’oxygène… Voilà pourquoi plus vous grimpez, plus votre souffle se fait court !
A quelques variations négligeables près, l’air contient globalement 21 % d’oxygène et 78 % d’azote, plus quelques autres gaz en faible proportion.
Avec l’altitude, la pression diminue. Un même volume d’air, par exemple celui inspiré par un randonneur en montagne, contient moins de molécules qu’au niveau de la mer.
Par conséquent, moins d’azote, moins de dioxyde de carbone et… moins d’oxygène.
Si vous atteignez le sommet de l’Everest, à 8848m d’altitude, vous connaîtrez une pression atmosphérique trois fois inférieure à celle du niveau de la mer.