Murielle Bolle, témoin clé de l’affaire Grégory, n’aurait pas reconnu, ce vendredi lors d’une confrontation à la cour d’appel de Dijon, le cousin qui assure qu’elle a subi des violences familiales en 1984. "Il a donné de son côté des détails qui prouvent qu’il la connaissait, qu’il avait en effet avec celle-ci des relations peut-être pas proches mais suffisantes pour nous dire ce que celle-ci lui aurait confiée il y a 30 ans", a pourtant assuré l’avocat du cousin, Jean-Christophe Tymoczko.