Les dirigeants des pays du G5 Sahel (Mali, Tchad, Mauritanie, Burkina Faso et Niger), en présence du président français, Emmanuel Macron, ont donc acté, le 2 juillet à Bamako, la constitution d’une force anti-djihadiste conjointe . La force G5 Sahel coûtera près 423 millions d’euros, chaque pays a promis de verser 10 millions d’euros qui s’ajoutent aux 50 millions de l’Union Européenne et les 8 millions annoncés par la France.
Comment la force compte-t-elle trouver les financements restants ?
Laura Martel, envoyée spéciale de RFI à Bamako au Mali répond à Konko auditeur de Nouakchott en Mauritanie.