Si Haussmann transformait Paris aujourd’hui, comment ferait-il  ?

C’est le défi proposé aux étudiants des Ecoles nationales supérieures d'architecture dans le cadre du hackathon "Haussmann 2.0, 48 heures pour révolutionner Paris  !"

Organisé au Pavillon de l’Arsenal à l'occasion de l'exposition "Paris Haussmann", ce hackathon à réuni des étudiant(e)s venant de 10 Ecoles nationales supérieures d'architecture françaises. Ils ont collaboré ensemble pendant 48 h pour imaginer et concevoir en 3D leurs projets les plus innovants pour Paris en utilisant, en avant-première, le jeu vidéo The Architect - Paris.

Ces étudiants ont été sélectionnés sur candidatures envoyées par mail.

Répartis sur cinq secteurs géographiques le long de la Seine et accompagnés par les équipes de Enodo Games et du Pavillon de l'Arsenal, les étudiants ont été invités à imaginer et modéliser en 3D leur Paris de demain : ponts habités au dessus de la capitale, création d'une "île Tour Eiffel", structure habitable suspendue au-dessus du Louvre ou encore pôle industrielle le long de la Seine...

Les projets, imaginés et modélisés en 3D par les étudiants, ont été intégrés dans le jeu vidéo The Architect - Paris permettant ainsi en animation une découverte inédite d’un Paris transformé !

Secteur Tour Eiffel
Prescillia HOMAND-TROUDART // Ensa Montpellier
Fatemeh Ghamaryari // Ensa Saint-Etienne
Jules Benillouche // Ensa Paris Valde Seine
Raphael Pauschitz // Ecole Spécial d'Architecture

Secteur Trocadéro
Mikita Rukhlia // Ensa Paris Val de Seine
Dounia TOUIL // Ensa Paris La Villette
William Oscar Aparicio Chavez // Ensa Paris La Villette

Secteur Musée du Louvre
Thomas Delarozière // Ensa Marseille
Corentin Gilbert // Ensa Nantes
Charlotte Delaplace // Ensa Rouen
Chloé Lecesne // Ensa Paris Malaquais

Secteur Cathédrale de Notre-Dame
Pauline Nicot // Ensa Paris Val de Seine
Antoine Flauto // Ensa Saint- Etienne
Valentine Dupuyds // Ensa Paris Malaquais

Secteur Port de l'Arsenal
Ludgi Dracon // Ensa Marseille
Marina Malossi // Ensa Paris Val de Seine
Jonathan Pina // Ensa Grenoble