StreetPress, Mediapart, Rue89, Charlie Hebdo, Buzzfeed, les Jours, Quotidien, Explicite et des confrères étrangers ont été interdits d’accréditation à la soirée post-électorale de Marine Le Pen dimanche soir. Par solidarité les journalistes de Libération ont décidé de boycotter l'évènement. Le curieux prétexte du "manque de place" a été donné aux journalistes. De telles pratiques avaient déjà eu lieu au 1er tour et précédemment.