Au lendemain des visites de Marine Le Pen et d'Emmanuel Macron sur le site de l'usine Whirlpool Amiens, menacée de délocalisation en Pologne, les salariés en grève ont jugé les deux candidats. "Au début, il y avait un peu de colère au début parce que le combat politique est passé au-delà du combat syndical", estime un représentant syndical. "C'est un coup de pub pour les deux", considère de son côté une employée de l'usine.