Au lendemain du premier tour de la présidentielle ayant qualifié Emmanuel Macron et Marine Le Pen, le président de la République a estimé que "la présence de l’extrême droite fait une nouvelle fois courir un risque pour notre pays. Il y a son histoire, il y a aussi ses méthodes, ses liens avec des groupes extrémistes partout en Europe. Mais il y a surtout des conséquences qu’aurait la mise en œuvre de son programme sur la vie de notre pays". François Hollande a ainsi cité la baisse du pouvoir d’achat et la suppression de milliers d’emplois.