Proposée par les Etats-unis, la Grande-Bretagne, et la France, une réunion de l'ONU a eu lieu mercredi pour aborder l'attaque chimique de mardi imputée au régime syrien Donald Trump a durcit le ton condamnant une "attaque répréhensible contre des femmes et des enfants" L'armée syrienne a démenti catégoriquement "avoir utilisé toute substance chimique ou toxique" Le Kremlin a voulu dédouaner le régime syrien assurant que les frappes contre l'hôpital visaient un "atelier de fabrication de bombes et armes chimiques"