A moins de deux mois du référendum sur la révision de la constitution et le passage à un système présidentiel, les Turcs se mobilisent pour ou contre l'application d'un texte renforçant les pouvoirs du président. Diabolisés par le pouvoir en place, les partisans du "non" peinent à faire entendre leur voix. Interdits de tenir des meetings publics, ils trouvent des moyens alternatifs pour mener leur campagne.