Véronique Roy a pris la plume pour témoigner. A l’époque elle n’avait pas vu les signaux de la radicalisation de son fils Quentin, agé de 23 ans. Celui-ci est mort au combat après avoir rejoint les troupes de Daech en Syrie. Aujourd’hui Véronique souhaite ouvrir la parole pour donner des armes aux parents qui voient leurs enfants se radicaliser.
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