Interview du 7 décembre 2016.
Après que je me sois déclaré honoré de la recevoir, Elisabeth Badinter m’a déclaré en souriant : “Il n’y a vraiment pas de quoi.” Je me suis tout de suite dit que ça allait être une chouette émission, libre et naturelle. Avant que le rouge soit mis, nous avons bavardé de tout et de rien, sa faculté d’écoute et son rire clair ont achevé de me séduire. Je ne parlerai pas de ses yeux bleus qui ont réveillé en moi un trouble trop intime. Elle était accompagnée d’une bonne copine qui n’a pas sa langue dans sa poche et dont la charge consiste à transformer intelligemment de fastidieuses séances promotionnelles en moment agréable. Pour le reste, à micro ouvert, la philosophe spécialiste des Lumières fut… lumineuse. Et impériale, digne de la grande Marie-Thérèse, noblesse oblige.
Voici son programme :
Symphonie n° 48 « Marie-Thérèse » de Haydn 1er mvt
Cécile Chaminade : Souvenir d’enfance
Madeleines :
Jacques Brel Ne me quitte pas
Barbara, Ma plus belle histoire d’amour c’est vous