La télévision abrite une entité si singulière qu'elle peut absorber tout le fun autour d'elle, à tel point que l'ambiance chute et crève tous les planchers du rire jusqu'au zéro absolu du malaise.
Dans cet univers glacé par les faux sourires et la bonne humeur artificielle, il est l'astre dépressif irradiant les écrans de sa triste authenticité.
L'artiste maudit et incompris dont l’œuvre résonnera à jamais dans l'éternité cathodique : Thierry Beccaro, le maître du malaise.