Le 24 octobre, la police a commencé à évacuer plus de 7 000 réfugiés qui vivaient dans la Jungle de Calais.
Un quart d’entre eux étaient mineurs. Ils ont été envoyés dans des centres d’accueil dédiés, où les demandes de réunification familiale vers la Grande-Bretagne devaient être étudiées.
« Maintenant que la séquence médiatique est terminée, les enfants qui devraient pouvoir rejoindre leurs parents ont-ils été oubliés ? » Franck Esnée, chef de mission, MSF