Pour la peau d'un flic est un film français réalisé par Alain Delon, sorti en 1981.
À propos du film :
Alain Delon en voiture passe rapidement sur un passage piéton, ce qui oblige une passante à presser le pas.
Il lui lance alors par la fenêtre :
« Et alors grande sauterelle ! »
Cette dernière n'est autre que Mireille Darc
(que l'on reconnait difficilement).
Elle lui répond
« Pauvre con ! »
La scène dure à peine deux secondes.
Anne Parillaud soigne une blessure par balle reçue par Alain Delon.
Celui-ci pousse un cri de douleur.
Anne Parillaud dit :
« Belmondo, lui, aurait fait une grimace virile. »
Ce à quoi Alain Delon répond :
« Laisse Belmondo là où il est. »
Synopsis :
Histoire aux multiples rebondissements d'un privé, ancien flic,
qu'une vieille dame charge de retrouver sa fille aveugle, Marthe, qui a disparu.
La vieille dame est assassinée...
Aidé par son associé, Haymann, commissaire en retraite, et sa secrétaire, Charlotte,
le privé Choucas tente de dénouer les fils d'un imbroglio où divers services de police et des trafiquants de drogue sont mêlés.
Chemin faisant, Choucas subit l'agression d'un certain Pradier,
il le retrouve dans l'appartement de la victime et le tue,
le complice, lui, parvient à s'enfuir...
De retour à son logis, Choucas échappe au piège tendu par un dénommé commissaire Madrier et le tue. Résultat,
Choucas est recherché par une bande mystérieuse et par la police officielle...
Une cascade d'événements mouvementés s'ensuit. Utilisé par la police et,
en particulier, par l'inspecteur principal Coccioli, resté à l'arrière-plan,
Choucas, acharné à découvrir la vérité, manque d'y laisser sa vie et n'est sauvé, in extremis, que par les forces de l'ordre.