Vous parlez « digitalisation », « uberisation », « risque cyber », pour bien faire comprendre que l’assurance c’est jeune, moderne, techno.
Pourtant, j’ai l’impression que les vrais mots clés associés aux assureurs sont « paperasse », « mauvais payeur », voire « arnaque », comme on l’a vu récemment avec les assurances obsèques.
Alors Bernard Spitz, vous croyez vraiment qu’un peu de maquillage rendra les assureurs populaires ?