Le couperet est tombé ce lundi matin: quelque 3.500 emplois sont menacés chez ING Belgique. Les syndicats s'attendaient à une restructuration mais pas à des pertes d'emplois de cette ampleur. Ils ont exprimé leur dégoût et leur stupéfaction et préparent un plan d'actions. Pour eux, invoquer les conséquences de la digitalisation pour supprimer des emplois est un faux prétexte. Le premier ministre Charles Michel rencontre les représentants syndicaux ce lundi à 16h00.