En mai 2006, à Nîmes, le ministre de l’Intérieur qu’il était alors en référait déjà aux Gaulois : « Quand j'étais écolier, nos maîtres nous parlaient de nos ancêtres les Gaulois. Ni les maîtres, ni les élèves n'étaient dupes. Chacun savait bien qu'à Arles, à Nîmes, à Narbonne ou à Perpignan il n'y avait pas eu beaucoup d'ancêtres gaulois. A Oran, à Tunis ou à Dakar encore moins. Mais c'était un acte de foi », assurait-il.