Hillary Clinton n'est désormais plus la seule à accuser son adversaire politique de racisme. Taxé jeudi lors d'un meeting de la candidate démocrate d'attiser les flammes du racisme aux Etats-Unis, Donald Trump a répliqué en affirmant qu'elle avait trahi la communauté noire, assurant que l'ouverture des frontières «viole les droits civiques des Noirs américains». Une manière, sans doute, d'élargir sa base électorale vers la communauté noire.