Aujourd'hui, environ un bachelier sur trois n'aurait pas obtenu l'affection de son choix à cause des capacités d'accueil réduites des universités dues à "une pénurie budgétaire" selon Lilâ Le Bas, déléguée général de l'UNEF. Les jeunes désireux d'accéder à une licence qu'ils n'obtiennent pas, sont déçus.