L'équipe de la défense de Julian Assange se bat depuis plusieurs années pour "obtenir la reconnaissance qu'il est en détention dans l'ambassade d'Equateur, qu'il est là prisonnier", souligne son avocat belge. Récemment, un groupe de travail de l’ONU a estimé qu'il s'agissait d'une détention arbitraire du fondateur de WikiLeaks. "Le monde académique et les professeurs de droit international soutiennent la décision du groupe de travail", insiste son avocat Christophe Marchand. Celui-ci fait le parallèle d'une personne qui serait bloquée en zone de transit, car sa demande d'asile serait rejetée. Mais pour la Suède et le Royaume-Uni, cela ne change rien.