Le procès de sept Strasbourgeois dont le frère d'un kamikaze du Bataclan, qui ont passé plusieurs mois en Syrie entre décembre 2013 et avril 2014, s'est ouvert lundi à Paris. Karim Mohamed-Aggad a déclaré aux enquêteurs qu'il voulait faire de l'humanitaire et qu'une fois sur place il avait réalisé son erreur et multiplié les efforts pour fuir. Dans le dossier des photos de lui souriant et brandissant une kalachnikov viendront pourtant affaiblir sa défense.