Des militants de l'association Attac scandaient ironiquement "Libérez, Oudéa" et "Sénateurs, persécuteurs" devant le Sénat mercredi 11 mai , alors que la commission des Finances auditionnait Frédéric Oudéa, patron de la Société générale. Les "Panama papers" ont révélé une implication de la banque dans l'utilisation de sociétés écrans plus importante que ce que son patron laissait entendre devant les Parlementaires en 2012.