« Il y a une forme de minorité agissante des groupes qui sont en train de gagner la bataille culturelle. Les salafistes doivent représenter 1% des musulmans de France mais il n’y a qu’eux qu’on entend. Il n’y a qu’eux qui se font entendre chez les plus jeunes parce que la parole unique de l’islam de France ne passe pas » a expliqué le Premier ministre.