Dépenses publique : les réduire, mais pour quoi faire ?

franceinfo 2016-03-30

Views 132

Show more

Download

Report form

RELATED VIDEOS

Réduction des dépenses publiques :

play

Réduction des dépenses publiques : "Il ne faut pas avoir de tabou", y compris la baisse des "aides aux entreprises" et des "dépenses sociales", selon Bruno Le Maire

play

"La droite peut mourir, les Républicains peuvent mourir", estime Guillaume Peltier, vice-président des Républicains

Pierre-Yves Bournazel candidat aux municipales :

play

Pierre-Yves Bournazel candidat aux municipales : "C'est un bon candidat. C'est celui chez Les Républicains qui en ce moment a le plus la possibilité d'être notre candidat", Claude Goasguen, député Les Républicains de Paris

play

"La droite peut mourir, les Républicains peuvent mourir", estime Guillaume Peltier, vice-président des Républicains

Santé :

play

Santé : "La France dépense 12% de son PIB en dépenses de santé, c’est beaucoup plus que tous les pays de l’OCDE", explique Agnès Buzyn #8h30politique

Les Républicains :

play

Les Républicains : "Je note que l'on a aujourd'hui un mouvement qui ressemble de plus en plus au parti Républicain [américain] et peut-être un de ses chefs qui ressemble de plus en plus au chef du parti Républicain, Donald Trump", Roland Lescure (LREM)

Budget 2023 :

play

Budget 2023 : "La hausse des dépenses est sous-estimée", par le gouvernement, selon l'ancien magistrat de la cour des comptes François Ecalle

Réduction des dépenses publiques : “j’ai plein de pistes” affirme Valérie Pécresse

play

Réduction des dépenses publiques : “j’ai plein de pistes” affirme Valérie Pécresse

play

"Les dépenses d'arrêts maladie s'envolent plus vite que la masse salariale", selon Muriel Pénicaud

Jacques ASCHENBROICH (Valeo):

play

Jacques ASCHENBROICH (Valeo): "50% de nos dépenses en recherche et développement sont encore en France"

play

"Les dépenses d'arrêt maladie s'envolent plus vite que la masse salariale", déclare Muriel Pénicaud, ministre du Travail

Sarkozy,

play

Sarkozy, "500 milliards de dépenses inconsidérées" (Royal)