Mardi 22 mars, les migrants coincés à la frontière gréco-macédonienne ont manifesté. Ils se plaignent de traitements inhumains et demandent à être acceptés en Europe. Les médecins de MSF sur place ont dû arrêter de soigner les gens et de distribuer de la nourriture tant la situation sécuritaire est au bord de l'explosion. Ce camp, censé accueillir 4 000 personne est actuellement le refuge de 12 000 migrants.