Le 15 mars, la cour d'appel de Paris a rejeté la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) soulevée par Dieudonné, poursuivi pour apologie du terrorisme, à cause du message «Je me sens Charlie Coulibaly» qu'il avait posté le 11 janvier 2015. L’avocat du Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme plaidant contre Dieudonné commente la décision de la justice.