Le 11 mars dernier, plus de 1 300 migrants et réfugiés ont quitté les conditions de vie inhumaines du camp du Basroch. Ils laissent derrière eux marécages, rats et tentes glaciales pour rejoindre le camp de la Linière.
A peine ouvert, le camp de Grande-Synthe est menacé de fermeture, les autorités estiment qu'il ne répond pas encore à toutes les normes de sécurité. L'urgence était d'offrir à ces personnes des conditions de vie acceptables.
Une chose est sûre. En France, le cynisme d’État, lui est désormais hors norme.
En Savoir plus : http://www.msf.fr/actualite/dossiers/impasse-refugies-en-france