La visite d'un chef d'État iranien est une première en France depuis 1999. La question des contrats sera évidemment centrale. Sur le terrain géopolitique, le dossier syrien occupera le premier plan. Peu de chances en revanche que les droits de l'homme soient abordés au cours des réunions. Il est avant tout en France "parce qu'il est de retour et qu'il est à nouveau fréquentable", résume Olivier Ravanello, spécialiste des questions internationales à iTELE.