Devant les députés, le Premier ministre a précisé mercredi le projet de réforme constitutionnelle sur la prolongation de l’état d’urgence et la déchéance de nationalité. La déchéance sera possible pour tous, même si le terme "binationaux" ne sera pas écrit. Manuel Valls enfin a précisé que cette déchéance de nationalité s’appliquerait pour les crimes mais aussi les délits les plus graves comme le financement du terrorisme par exemple.