Le vent de la révolte souffle dans les cabarets populaires de Mexico. Sur scène, Astrid Hadad part à l’assaut : « Pas de quartier ! à bas l’indécrottable macho, vive le péché et Qué viva México ! »
Extravagante, iconoclaste, Astrid fustige l’incohérence du genre humain et mexicain dans un délire dévastateur qui vise toujours la même cible : une société machiste figée dans ses valeurs.
Porte-voix de toutes les femmes mexicaines, Astrid en révèle aussi les multiples visages. Elle a le trait acéré et provoque avec force un public qui ne se fait jamais prier pour réagir. La scène de cabaret devient alors le théâtre de la société.
En portant un regard singulier sur le Mexique d’aujourd’hui, ASTRID HADAH, LA MÔME TEQUILA ! est avant tout le portrait d’une femme libre.